C'est avec une profonde tristesse que le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) a appris le décès de Roger Pinto, Président de Siona et ancien vice-Président du Crif. Militant historique des institutions juives, il a été de tous les combats contre l'antisémitisme et aux côtés d'Israël. Le Crif présente ses condoléances à sa famille.

Cette année, Yonathan Arfi a souhaité faire de l’éducation un sujet prioritaire pour le Crif. En effet, un constat lucide de la situation, sombre à bien des égards, s’avère insuffisant s’il ne permet pas d’ouvrir de nouvelles perspectives. La résurgence actuelle de l’antisémitisme, parfois sous de nouvelles formes, suscite une inquiétude bien légitime ; il faut toutefois se refuser à sombrer dans un fatalisme obscurcissant l’avenir et les possibilités d’agir sur lui. L’éducation des jeunes générations est sans doute le plus important des leviers d’action à privilégier. Elle se trouve cependant confrontée, comme en témoigne l’ensemble des textes que nous avons recueillis, à des problématiques complexes et inédites.

Le lundi 3 avril 2023, Les Amis du Crif avaient rendez-vous, pour un échange exceptionnel, avec Éric Ciotti, Président du parti Les Républicains (LR). Une rencontre passionnante, riche en échanges et débats, animée par Frédéric Haziza, Chef du service politique de Radio J.

À l’initiative du B’nai B’rith International, les représentants des principales ONG juives accréditées auprès de l’UNESCO et du Conseil de l’Europe se sont réunies ensemble autour de l’Ambassadeur d’Israël auprès des organisations multilatérales, Haïm Assaraf, qui a eu la gentillesse de les accueillir dans sa résidence.

Dans le cadre du Dîner du Crif Grenoble-Dauphiné, organisé par son Délégué régional Hervé Gerbi, Yonathan Arfi, Président du Crif, s’est rendu à Grenoble les 29 et 30 mars 2023. Il était accompagné de Benjamin Allouche, Trésorier du Crif, de Véronique Harari, directrice des relations publiques, et de Stéphanie Dassa, directrice de projets.

Cette année, Yonathan Arfi a souhaité faire de l’éducation un sujet prioritaire pour le Crif. En effet, un constat lucide de la situation, sombre à bien des égards, s’avère insuffisant s’il ne permet pas d’ouvrir de nouvelles perspectives. La résurgence actuelle de l’antisémitisme, parfois sous de nouvelles formes, suscite une inquiétude bien légitime ; il faut toutefois se refuser à sombrer dans un fatalisme obscurcissant l’avenir et les possibilités d’agir sur lui. L’éducation des jeunes générations est sans doute le plus important des leviers d’action à privilégier. Elle se trouve cependant confrontée, comme en témoigne l’ensemble des textes que nous avons recueillis, à des problématiques complexes et inédites.