Dès juillet 2006, Roger Pinto constitue le Comité international pour la libération des trois soldats israéliens. Pour la newsletter du Crif, il rappelle les grandes étapes de cette action qui, après la restitution des corps d'Eldad Regev et Ehud Goldwasser, se poursuit sans relâche pour la libération de Gilad Shalit.
Après la réunion de Paris du 13 juillet, l’ambassadeur d’Israël fait le point pour la newsletter du CRIF sur les relations entre Jérusalem et ses voisins.
Question : Françoise Ouzan, vous êtes docteur en histoire de l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne et maître de conférences habilitée à diriger des recherches. Vous êtes actuellement chercheuse au Goldstein-Goren Diaspora Research Center de l’Université de Tel-Aviv et chercheuse associée au Centre de recherche français de Jérusalem. Vous publiez un nouvel ouvrage : Histoire des Américains Juifs (André Versaille éditeur). De quoi s’agit-il ?
Vous avez présenté, lors de la récente conférence organisée par Shimon Peres, à l’occasion des soixante ans d’Israël un nouveau projet de partenariat entre Israël et la Diaspora. En quoi consiste ce projet ? Comment a-t-il été accueilli ?
Question : Vient de sortir en librairie votre « Atlas géopolitique d’Israël. Aspects d’une démocratie en guerre », avec cartes et infographies de Alexandre Nicolas (collection Atlas Monde, 80 pages, 15 euros, Edition Autrement). S’agit-il d’ailleurs d’un livre ou d’un atlas géopolitique ? Et qu’est ce qu’un atlas géopolitique ?