Le CRIF en action

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Publié le 21 Mars 2014

Vidéo : la manifestation du 19 mars place du Trocadéro à Paris

Vous pouvez voir ou revoir l’intégralité de ce grand rassemblement républicain ci-dessous, avec les interventions dans l’ordre de Bertrand Delanoë, Maire de Paris, Meyer Habib, député des Français établis hors de France 8e circonscription, l’Imam de Drancy Hassan Chalgoumi, Jérôme Guedj, Député de l’Essonne, Harlem Désir, Secrétaire général du PS, du Préfet Alain Boyer, représente le Pasteur Clavairoly, du réalisateur Alexandre Arcady, du philosophe Bernard-Henri Levy, du Président du CRIF, Roger Cukierman et du Ministre de l’Intérieur, Manuel Valls.

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Publié le 21 Mars 2014

Avant-première exceptionnelle du film « 24 jours » jeudi 20 mars au cinéma Publicis

En hommage à Ilan Halimi, Roger Cukierman Président du CRIF et Maurice Lévy, Président du Directoire de Publicis Groupe, ont organisé l’avant-première du film « 24 jours », réalisé par Alexandre Arcady, relatant l’enlèvement et le meurtre d’Ilan Halimi. Plus de 400 personnalités présentes ont assisté à la projection qui a suscité une très vive émotion.  Tous ont félicité Alexandre Arcady pour la justesse de ton, la pudeur et la retenue dans la réalisation de ce film adapté du livre d’Emilie Frèche, co-écrit avec Ruth Halimi, la maman d’Ilan.

Un film à voir dès sa sortie le 30 avril 2014.

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Publié le 20 Mars 2014

François Guguenheim apelle à « un réveil de la conscience collective »

Article publié dans la République du Centre Ouest le 19 mars 2014

A l’occasion de la commémoration du 19 mars 2014, le CRIF a souhaité alerter l’opinion sur le resurgissement en France d’un antisémitisme frontal, sans masque ni gêne. L’opération « Jour de colère » en janvier dernier en a fourni la préoccupante démonstration. 

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Publié le 20 Mars 2014

Grande mobilisation générale à Nice

Le CRIF Sud Est, sous l’égide de son Président Jérôme Culioli et en présence de Martine Ouaknine, membre du CRIF national, a organisé un rassemblement sur la Place du Palais de Justice à Nice le 19 mars 2014 à l'image des rassemblements de Paris, Lyon, Toulouse et Bordeaux. Ce rassemblement a été une réussite et très bien perçu. Il a donné lieu à une forte mobilisation des associations non communautaires ainsi que des principaux acteurs du monde politique de la région, tous réunis dans un esprit de fraternité républicaine évident. Etaient ainsi présents, Christian Estrosi député maire de Nice, Président de Nice Côte d’Azur, Eric Ciotti, député des Alpes Maritimes Président du Conseil Général des Alpes Maritimes, Patrick Allemand vice-président de la région PACA, les adjoints au Maire de St Laurent du Var.

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Publié le 20 Mars 2014

L'hommage aux victimes de Merah à Sarcelles

Article publié dans la version papier du Parisien le 20 mars 2014

Manuel Valls s’est rendu à Sarcelles mercredi 19 mars 2014 pour dévoiler une plaque en hommage aux victimes de Mohamed Merah, le 19 mars 2012 à Toulouse. Le Ministre de l’Intérieur a inauguré la place Sandler-et-Monsonego, située au bout de la nouvelle rue Raymond-Rochon, près de la synagogue. 

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Publié le 20 Mars 2014

Rassemblement à Bordeaux contre l'antisémitisme

Article publié dans Sud-Ouest le 19 mars 2014

Environ 300 personnes étaient mobilisées mercredi 19 mars 2014 place de la République pour protester "contre l'antisémitisme" et réclamer davantage de "fraternité républicaine". Ce rassemblement était organisé par le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) du Sud Ouest,  deux ans après les tueries de Montauban et Toulouse.

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Publié le 20 Mars 2014

Deux ans après Merah, Toulouse se recueille et s'alarme

Article publié dans 20 minutes le 19 mars 2014

Ce sont les enfants de l'école juive Ozar Hatorah (rebaptisée Ohr Torah depuis) qui, les premiers, ont honoré les morts. Trois des leurs, âgés de 4, 5 et 8 ans, et le père de deux d'entre eux ont péri là sauvagement. Les élèves d'Ohr Torah ont fait mercredi 19 mars 2014 ce qu'ils faisaient le 19 mars 2012 à l'heure où Merah a semé l'effroi devant l'école et dans la cour et qu'ils font tous les jours dans la synagogue de l'établissement, vers 8 heures : prier entre eux, loin des regards, sous la conduite d'un ancien élève revenu pour la circonstance et auprès du directeur Yaacov Monsonego, toujours là malgré la perte de sa fille.

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Publié le 20 Mars 2014

Roger Cukierman : « Ce soir, j'en appelle à tous les Français parce que la haine des Juifs ne s'arrêtera pas aux Juifs! »

Discours du 19 mars 2014 au Trocadéro

Il y a deux ans, jour pour jour, la haine des Juifs arrachait à la vie Jonathan, Arié et Gabriel Sandler, ainsi que Myriam Monsonego. La France était sous le choc face à ces jeunes vies abattues dans l'enceinte sacrée d'une école. Notre présence, ce soir, témoigne de notre volonté farouche de ne jamais oublier. Nos pensées vont aux victimes, celles de Toulouse et celles de Montauban. Nos pensées vont à Ilan Halimi, assassiné, il y a déjà huit ans. Nos pensées vont à leurs familles, ici présentes. Chers Amis, après l'évocation de ces tragédies, qui peut croire que l'antisémitisme est un mal bénin ? Qui peut croire que les mensonges déversés sur le peuple juif, et sur l'Etat d'Israël, sont anodins ? L'antisémitisme n'est pas qu'un mot, n'est pas une opinion. C'est une idéologie qui tue. Et la haine des Juifs, nous sommes réunis, ce soir, pour dire que ça suffit ! 

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Publié le 20 Mars 2014

Manuel Valls : « Juifs de France, sans vous, la France n’est plus la France »

Deux ans jour pour jour après la tragédie de Toulouse, près de 10 000 personnes se sont recueillies dans un grand moment de solennité et de prise de conscience  de la violence  de l’antisémitisme depuis octobre 2000.

Les intervenants dont Roger Cukierman, président du CRIF, Bertrand Delanoë, maire de Paris, Bernard-Henri Lévy, philosophe ou Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, en clôture, ont tenu à témoigner de l’âpreté de l’antisémitisme et de la nécessité de le combattre sans relâche, au nom des valeurs de la République. La France continuera de s’opposer aux marchands de haine qui utilisent l’antisémitisme à des fins populistes, extrémistes, démagogiques et partisanes, ont-ils insisté dans leurs allocutions.

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Publié le 20 Mars 2014

Manuel Valls appelle à la "lucidité" face à l'antisémitisme

Article publié dans le Parisien le 19 mars 2014

Le Ministre de l'Intérieur Manuel Valls a appelé mercredi 19 mars 2014 à "être lucide", à "réfléchir" et à "résister" face à l'antisémitisme, lors d'un rassemblement organisé à Paris deux ans après la tuerie de Toulouse. Pour éviter qu'un tel drame ne se reproduise, il faut faire preuve d'une "très grande lucidité", a déclaré le Ministre devant des centaines de personnes réunies à l'appel du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) sur l'esplanade du Trocadéro. 

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Fil d’actualité

Albert Roche, Président du CRIF de Bordeaux – Aquitaine : «Les Bordelais sont très fiers de nos champions de football !»

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02 Juin 2009
Question : Bordeaux a reconquis le titre de champion de France 2009 de football, au nez et à la barbe de l’OM et, à Bordeaux, près de 25.000 supporteurs se sont rassemblés place des Quinconces pour assister à la remise de la coupe. Vous êtes content?

Hommage a la famille Metzler

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28 Mai 2009
Il y a quelques années, le docteur Bruno Halioua, historien et secrétaire général de l’AMIF, association membre du CRIF, a attiré l’attention des autorités de la région Poitou-Charente sur la tragédie terrible de la famille Metzler.

Raphaël Haddad, président de l’UEJF: les organisations non-gouvernementales ont bien fait d’aller à Genève

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25 Mai 2009
A la suite de l’émission de France 2 à laquelle vous avez pris part, 19 avocats de la défense du « gang des barbares » ont dénoncé des « atteintes graves à la présomption d’innocence et à l’indépendance de la justice ». Qu’en pensez-vous ?

Ces accusations me semblent bien lourdes au regard d’une émission qui a fait le choix d’un vrai débat de fond sur le procès des ravisseurs d’Ilan Halimi ! Je crois qu’il ne faut pas se laisser impressionner par les cris d’orfraies. Tout ce qui permettra à ce procès d’être l’occasion d’un débat public sur ce que cette tragédie révèle comme malaise dans notre société doit être encouragé.

Un procès doit-il avoir un rôle pédagogique ?

La loi, comme la sanction ont parfois une fonction pédagogique. Elles viennent rappeler les limites fixées par l’ensemble des citoyens pour continuer à vivre-ensemble. Cette dimension est essentielle pour le procès d’un acte antisémite aussi grave, qui s’inscrit dans les milliers d’autres commis sur notre territoire depuis le début des années 2000.

Vous avez fait le clown à Genève pour dénoncer « le cirque » du Durban 2. En fin de compte, quel est le bilan de cette réunion ? Que répondez-vous à ceux qui disent qu’il ne fallait pas aller à Genève ?

Le bilan de ce sommet pose une question lourde à tous les militants des droits de l’homme. Un chef d’état raciste et ne cachant pas ses volontés d’extermination a ouvert les débats d’une conférence mondiale contre le racisme, tandis qu’une organisation antiraciste reconnue en a été expulsée. Par ces faits, je crains que le conseil des droits de l’homme de l’ONU ait signé l’inversion des valeurs humanistes qu’il est censé défendre, et le succès des pays les plus méprisants des droits de l’homme. Pour cette raison, une réforme de la gouvernance de cet organe m’apparait indispensable et urgente. Je regrette que la France ait participée à cette conférence, parce qu’elle y a ainsi conféré une part de légitimité. Mais à ceux qui prétendent qu’il ne fallait pas que les ONG se rendent à Genève, je réponds que le meilleur endroit au monde pour dénoncer la mascarade de Durban 2 était sans aucun doute à quelques mètres du Président iranien.

Vous avez été invité à la réunion annuelle de l’American Jewish Committee. Quelle est la perception qu’ont les Juifs américains de la situation des Juifs en France ?

J’ai été très marqué par cette rencontre annuelle, qui a réuni 700 personnes pendant trois jours autour d’ateliers thématiques, de grandes conférences. Les juifs américains sont très soucieux de la situation des Juifs de France, et relativement inquiets devant les 350 actes antisémites qui ont été commis sur notre territoire pendant qu’Israël faisait la guerre au Hamas. Pour ma part, je reviens de cette réunion confortée dans l’idée qu’à l’image de ce que nous faisons dans les collèges avec le programme Coexist (www.coexist.fr) ou de notre engagement aux côtés d’associations de quartiers, c’est en construisant des ponts avec d’autres populations que nous pourrons garantir l’avenir des Juifs de France.

Pensez-vous qu’une organisation comme l’UEJF peut critiquer le gouvernement israélien ou doit être inconditionnellement alignée sur les positions des dirigeants israéliens, quels qu’ils soient ?

Il faut soutenir inconditionnellement le droit à l’existence de l’état d’Israël et ne jamais manquer une occasion de promouvoir la paix.

Alec Borenstein : les couleurs de Tel-Aviv

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20 Mai 2009
A l’occasion du centenaire de Tel-Aviv, Hagalleria (45 rue Crozatier 75012 Paris) expose jusqu’au 6 juin des peintures d’Alec Borenstein sur le thème : « Alec : Tel-Aviv à vif ».

Pourquoi avoir choisi Tel-Aviv comme lieu privilégié de votre peinture ?

Tel Aviv est un des thèmes privilégiés dans ma peinture (il y en a d'autres comme :Freud, les citrons, les nappes à carreaux ..), mais Tel Aviv n'est pas le lieu de ma peinture! C'est là peut-être l'originalité d'une œuvre qui oscille entre un réalisme très sévère et un certain onirisme.
Car c'est dans mon atelier parisien dans sa lumière grise que je peins Tel Aviv, inondée d'une lumière jaune et de couleurs vibrantes. Comme l'a écrit le poète Yéhuda Halévi : "Mon cœur est en Orient, mais je suis aux confins de l'Occident".

Vous avez une nostalgie particulière pour la rue de votre enfance, la rue Mapu. Pourquoi ?

C'est la rue où j'ai grandi. Elle conserve des souvenirs d'une enfance idéalisée par le temps qui passe ...Dans une de mes toiles, je me revoie enfant dessinant la rue Mapu, dans une autre, "Le cheval rouge», la maison violette -l'ancien hôtel Bristol-est reconstituée d'après un de mes dessins d'enfance.
La rue Mapu porte en elle la quintessence de ce qu'est Tel Aviv pour moi : ses maisons de style Bauhaus, ses petites cours, le soleil ardent et la mer à quelques pas.

Tel-Aviv a 100 ans. Quel est votre regard de citoyen et de peintre sur cette ville ?

Je dirai que je suis heureux de constater les efforts faits pour préserver, au moins au cœur de la ville, le caractère particulier de Tel Aviv : les proportions humaines de ses maisons à trois ou quatre étages entre lesquelles poussent des ficus, des arbustes et des palmiers.
En 100 ans, la petite bourgade est devenue une véritable métropole, avec une activité économique et culturelle d'une grande capitale en miniature... Mais ma peinture s'attache surtout à son charme le plus authentique.

Jacques Jacubert, président du B’nai Brith France: mon bilan

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20 Mai 2009
Jacques Jacubert, vous aviez été élu président du Bnai Brith France en 2007.
Votre successeur - Ils sont deux à briguer votre place - sera élu le 14 juin prochain.
Vous avez donc décidé de ne pas vous représenter. Deux ans, n’est-ce pas trop court pour obtenir des résultats tangibles ?

Alain Belhassen, président du CRIF Sud Est : «le dialogue avec les musulmans est indispensable»

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15 Mai 2009
Alain Benlhassen, vous avez tenu une réunion du CRIF élargie Sud Est le 14 mai à Nice. A cette occasion les militants ont entendu un exposé de Bernard Kanovitch, membre du comité directeur et co-président de la commission du CRIF de relations avec les musulmans. Quel a été le sens de l’intervention de Bernard Kanovitch ?

Cette réunion a précédé la cérémonie officielle de Yom Haatsmaout organisée par la Mairie de Nice, en présence du député maire Christian Estrosi, du président du conseil général, Eric Ciotti, du Consul général d’Israël à Marseille, Mme Simona Frankel et de l’Ambassadeur d’Israël Daniel Shek. A cette occasion, Bernard Kanovitch a représenté le CRIF national. Il a abordé différents points, il a aussi rappelé le rôle des institutions faisant allusion au travail qui est entrepris par le CRIF Sud Est avec les autorités politiques administratives et religieuses.

Lors de cet exposé est-ce que Bernard Kanovitch a parlé du dialogue entre les musulmans et juifs ?

Oui, il a été question de la relation avec les musulmans malgré les difficultés actuelles, il a insisté sur le fait que c’est justement maintenant qu’il faut maintenir le contact avec nos interlocuteurs musulmans. Il est convaincu que ce dialogue devra reprendre comme avant avec des perspectives de relations et de paix entre les communautés.

De ce fait, dans votre délégation vous comptez maintenir et approfondir ce dialogue ?

Oui, particulièrement dans notre région où les tentatives de fédérations de diverses associations musulmanes se font jour. Nous pensons que ce dialogue est indispensable et nous sommes convaincus qu’il faut le maintenir. Dans ce cadre là, j’ai participé à la réception donnée en l’honneur de l’Ambassadeur de Tunisie pour le lancement de l’année de la Tunisie à Nice. Nous envisageons une action spécifique dans ce cadre-là.

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