Le CRIF en action

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Publié le 5 Janvier 2015

« Un phénomène triste et très inquiétant »

Par Roger Cukierman, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), publié dans Le Parisien le 03 Janvier 2015, propos recueillis par C.D.S

Vous craignez donc de nouveaux départs de France ?

Ils ont même toutes les chances d'augmenter l'an prochain. Et si on parle d'aliya vers Israël, il ne faut pas oublier les centaines, voire les milliers de juifs français qui, poussés notamment par le vent mauvais qui souffle en France, se sont installés cette année au Canada, aux Etats-Unis ou en Australie. Je tire la sonnette d'alarme : les juifs ont toujours été les sentinelles de la démocratie. S'ils commencent à partir, c'est que la France est malade.

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Publié le 5 Janvier 2015

Cukierman : «L'aliyah, échec pour la France»

Par Paul de Coustin, publié dans Le Figaro le 02 janvier 2015

Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France décrypte pourquoi plus de 7000 Juifs français ont émigré vers Israël en 2014, soit plus du double de l'année précédente.

C'est la première fois que les Juifs de France fournissent le plus gros contingent mondial de l'aliyah, terme hébreu qui désigne l'émigration vers Israël. Selon l'Agence juive pour Israël, plus de 7 000 Juifs de France ont émigré vers Israël en 2014, soit plus du double de l'année précédente où 3 293 ressortissants avaient rejoint l'État hébreu. Ce flux devrait se poursuivre en 2015. L'Agence juive prévoit l'arrivée de plus de 10 000 nouveaux immigrants en provenance de France. Roger Cukierman, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) analyse les raisons qui poussent les Juifs français à quitter leur pays.

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Publié le 5 Janvier 2015

Cukierman : «L'aliyah, échec pour la France»

Par Paul de Coustin, publié dans Le Figaro le 02 janvier 2015

Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France décrypte pourquoi plus de 7000 Juifs français ont émigré vers Israël en 2014, soit plus du double de l'année précédente.

C'est la première fois que les Juifs de France fournissent le plus gros contingent mondial de l'aliyah, terme hébreu qui désigne l'émigration vers Israël. Selon l'Agence juive pour Israël, plus de 7 000 Juifs de France ont émigré vers Israël en 2014, soit plus du double de l'année précédente où 3 293 ressortissants avaient rejoint l'État hébreu. Ce flux devrait se poursuivre en 2015. L'Agence juive prévoit l'arrivée de plus de 10 000 nouveaux immigrants en provenance de France. Roger Cukierman, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) analyse les raisons qui poussent les Juifs français à quitter leur pays.

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Publié le 2 Janvier 2015

Bonne Année!

Le CRIF souhaite une Bonne Année 2015 à tous ses lecteurs.

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Publié le 30 Décembre 2014

Le CRIF réagit à la campagne JC Decaux pour la Palestine

Dès qu'il a pris connaissance de la campagne Palestine sur les abribus JC Decaux, qui représente des ruines (de Gaza ?) à travers la silhouette d'un visage d'enfant, le CRIF a adressé un courrier au Président et au DG de JC Decaux, il a notamment souligné :

"Cette campagne est un appel à la haine, haine d'Israël, qui se transformera en haine des Juifs, comme l'ont attesté les émeutes de cet été. Dans le contexte actuel de terrorisme – on a tiré sur une synagogue et deux commerces juifs du 19ème arrondissement la semaine dernière – cette campagne est particulièrement irresponsable.

Nous vous demandons donc de la suspendre sans délai, comme vous n'aviez pas hésité à suspendre la campagne de JDate à Nanterre l'année dernière, sous prétexte qu'elle montrait une étoile de David, en prétextant l'avoir fait « par précaution ». Par ailleurs, l'équipe digitale du CRIF a lancé une contre-campagne sur les réseaux sociaux, suivie par près de 90.000 personnes, et partagée plus de 825 fois, pour montrer que c'était le Hamas qui était responsable de la destruction de Gaza. Robert Ejnes s'est entretenu avec le DG Stratégie de JC Decaux suite à ce courrier.  La campagne sera recouverte dans les 24h. 

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Publié le 26 Décembre 2014

Agressions répétées à Paris 19e

Plusieurs attaques ont eu lieu cette semaine dans le 19ème arrondissement. Après l'attaque sur la vitre de la synagogue de rue Danjon, deux autres impacts de projectiles semblables ont été relevés sur les vitres d'un restaurant casher et d'un commerce appartenant à un membre de la communauté juive. Ce vendredi 26 décembre 2014, selon une information de la Préfecture, un troisième commerce a été attaqué. Le SPCJ est en contact avec les forces de police pour suivre les enquêtes.  Le parquet a demandé une enquête balistique.

Devant cette répétition d'agressions antisémites, le CRIF est intervenu auprès de la Préfecture de Police, et du Ministère de l'Intérieur pour exprimer l'inquiétude de la Communauté juive, demander une action rapide de protection, et un renforcement de l'enquête.

 

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Publié le 24 Décembre 2014

Marwan Barghouti nommé citoyen d'honneur d’Aubervilliers

Suite à la nomination de Marwan Barghouti comme citoyen d'honneur d’Aubervilliers, Roger Cukierman écrit à Pascal Beaudet, Maire d’Aubervilliers (PCF). Nous avons appris par la presse la décision prise par votre conseil municipal du 23 décembre de nommer, Marwan Barghouti comme citoyen d'honneur de votre ville, précisant dans votre résolution qu'il était un homme de Paix et de Dialogue.

Votre résolution omet de préciser que ce terroriste palestinien a été inculpé par un tribunal civil pour meurtres et tentatives de meurtres dans une entreprise terroriste sous son commandement. Il a été condamné le 20 mai 2004 à cinq peines de réclusion à perpétuité pour cinq meurtres et à 40 ans d'emprisonnement pour tentative de meurtre par un attentat-suicide. Nous sommes donc choqués par cette nomination d'un terroriste criminel en qualité de Citoyen d'Honneur de votre ville. Nelson Mandela, auquel vous osez le comparer était un dirigeant politique condamné à la prison, mais pour ses idées, pas pour des assassinats.

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Publié le 24 Décembre 2014

Joyeux Noel à nos amis Chrétiens

Le CRIF souhaite un Joyeux Noel aux Chrétiens de France et à tous ceux qui réveillonnent !

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Publié le 24 Décembre 2014

Contre la Tournée de la Haine

Par Robert Ejnes et Marc Knobel

Afin de sensibiliser les pouvoirs publics et la société civile contre les risques importants de dérapages et de troubles conséquents à l'ordre public au cours de la tournée de Dieudonné M'Bala M'Bala, Roger Cukierman et le CRIF sont intervenus à de multiples reprises. Les interventions se sont succédées auprès notamment des Ministres de l'Intérieur, de la Culture, et de la Justice.  Par ailleurs, le CRIF a contacté des Maires, des Préfets, et des sociétés d'exploitation des salles dans lesquelles Dieudonné M'Bala M'Bala doit se produire.

Auprès de ses interlocuteurs, le CRIF a rappelé qu'au cours de ses dernières tournées, des propos antisémites, négationnistes, racistes et homophobes ont été entendus, stigmatisant notamment les juifs et bafouant la démocratie.  La création récente d'un parti politique par Dieudonné M'Bala M'Bala et Alain Soral constitue un risque supplémentaire que cette tournée ne soit détournée en une campagne de propagande politique extrémiste.  Par ailleurs, dans un contexte d'augmentation des actes antisémites, de radicalisation, le CRIF craint que cette tournée puisse attiser la haine.

Le CRIF a également insisté sur les nombreuses condamnations de Dieudonné M'Bala M'Bala pour ses propos antisémites.

Les interlocuteurs du CRIF, notamment au sein des ministères, ont exprimé leur inquiétude et leur vigilance quant à cette tournée.

Véga, filiale de Fimalac, gestionnaire de plusieurs Zenith ou Dieudonné M'Bala M'Bala doit se produire, a tenu à préciser dans un communiqué de Presse qu'elle était "sensibilisée" à ce sujet.

Le CRIF reste vigilant dans son combat contre la haine.

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Publié le 24 Décembre 2014

Avec les Amis du CRIF, venez rencontrer Christophe Barbier, ce mercredi 7 janvier

Les Amis du Crif vous invitent à une rencontre exceptionnelle avec Christophe Barbier, Directeur de la rédaction de l’Express, sur le thème « Quel avenir pour la France, société laïque ou  multiculturelle ?» mercredi 7 janvier, de 19h30 à 21h30. Pour vous inscrire à la soirée, cliquez ici :

Eventbrite - Rencontre avec Luc Ferry

Vous avez également la possibilité d'adhérer en ligne maintenant aux Amis du CRIF en cliquant ICI et de bénéficier ainsi d'une entrée gratuite pour tous les évènements de l'association en 2014.

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Michel Taubmann, journaliste, rédacteur en chef du Meilleur du Monde : «Nous sommes tous des démocrates iraniens !»

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26 Juin 2009
La revue Le Meilleur des mondes et la Confédération étudiante organisent le lundi 29 juin à 18 heures (mairie du 13ème arrondissement de Paris - 1, place d'Italie) un grand colloque : « Iran, le choix démocratique », avec le soutien du CRIF, parmi de nombreuses autres organisations et personnalités, et avec la présence d’Akbar Atri, leader du mouvement étudiant en 1999 et 2003, fondateur de l’organisation étudiante pour la démocratie et les droits de l’homme ; Ladan Boroumand, directrice de la Fondation pour la promotion des droits de l’homme et de la démocratie en Iran ; Chahla Chafiq, sociologue et féministe ; Chahdortt Djavan, écrivain et féministe ; Setâre Enayatzadeh, universitaire ; Prince Reza Pahlavi ; Mohsen Sazegara, fondateur des Gardiens de la Révolution, puis animateur du mouvement réformateur jusqu’en 2003 (1). Qu’attendez-vous de ce colloque ?
Réponse : Je crois qu’il est très important que pour la première fois depuis la révolution islamique, les anciens adversaires ou leurs enfants, je pense notamment à Mohsen Sazegara qui, en 1979, jeune étudiant révolutionnaire, était au côté de Khomeiny, à Neauphle-le-Château et à Reza Pahlavi, fils du Shah d’Iran, chassé du pouvoir par la Révolution islamique. Mohsen Sazegara a été l’un des fondateurs des Gardiens de la Révolution, terrible organisation politico-militaire, qui est encore aujourd’hui, l’un des derniers soutiens du régime.
Reza Pahlavi, lui, se consacre depuis trente ans, seul et sans moyen, car il est abandonné de tous, à instaurer la démocratie dans son pays. Chacun de son côté, Mohsen Sazegara et Reza Pahlavi, ont fait un bout du chemin, ont connu des remises en question et des souffrances. Mohsen Sazegara après avoir occupé de hautes fonctions dans la République Islamique est devenu un leader du mouvement réformateur. Il l’a payé de plusieurs mois de prison, et de tortures physiques et morales. Ces deux hommes se retrouvent aujourd’hui pour soutenir la révolte du peuple iranien et ils sont tous les deux à la fois pour la démocratie et la laïcité. On peut en dire autant de tous les Iraniens qui seront à la tribune. Je pense notamment aux femmes comme Chahdortt Djavan, Chahla Chafiq et Ladan Boroumand, qui, en tant que femmes, furent les premières victimes de l’obscurantisme religieux.

La situation en Iran est grave. Que traduit la crise actuelle ? Peut-on parler de situation prérévolutionnaire ?
Réponse : Cette situation n’est absolument pas surprenante pour ceux qui, comme moi, suivent les événements en Iran, depuis plusieurs années. Nous avons tous relevé un décalage croissant entre une société civile aspirant à la démocratie et l’assouplissement à la disparition des contraintes religieuses imposées par le système.
Je vous rappelle que le livre d’entretiens que j’ai publié avec Reza Pahlavi s’appelle « L’heure du choix », (Ed. Denoël, février 2009, 17 euros), ce qui signifiait clairement que pour lui, la question de la démocratie se posait à court terme pour l’Iran. Ce titre a suscité beaucoup de sarcasmes à l’époque. Il y a encore quelques semaines, des observateurs vantaient la solidité du régime iranien et louaient ses capacités à organiser des élections démocratiques. Ce qui est clair, c’est que nous sommes confrontés à deux crises. La première oppose une grande partie de la société iranienne au pouvoir en place et la deuxième est interne au pouvoir. La jonction entre une partie de l’appareil religieux, politique et militaire et les protestataires entrainera à terme une crise qui débouchera non pas sur une réforme mais sur un dépassement de la République islamique. Il est très significatif d’ailleurs de constater qu’un homme comme Moussavi, ancien Premier ministre de Khamenei et de Khomeiny (entre 1981 et 89) dans la période la plus répressive du régime se trouve aujourd’hui emporté bien loin de ses intentions initiales dans un affrontement avec le régime dont il est issu.

La jeune Neda, qui a été tuée d’une balle en pleine poitrine et dont le film de sa mort fait le tour du monde sur le web, est-elle devenue le symbole même de la résistance en Iran ?
Réponse : Les images terribles de ce carnage, de cet acharnement brutal et inhumain sur cette jeune fille symbolise la réalité de la République islamique. Dans le livre que je publie très bientôt chez Denoël (« Histoire secrète de la révolution iranienne »), avec mon ami l’intellectuel iranien Ramin Parhan, nous montrons avec des documents inédits que dès le premier jour, la révolution islamique s’est distinguée par sa brutalité, sa cruauté, et la haine de tous ceux qui était différent et notamment les femmes. Ce fut une révolution contre les femmes et il est assez malheureusement logique que cette révolution qui a commencé contre les femmes se termine par le massacre d’une jeune femme sans défense. Toutefois, le symbole de la nouvelle révolution démocratique dont nous voyons les prémices actuellement, ce sont ces beaux visages de femmes iraniennes, qui enlèvent leur voile et droit dans les yeux défient les Ayatollahs obscurantistes et leurs miliciens barbares. Ce sont ces visages de femmes dévoilées iraniennes qui sont aujourd’hui non seulement l’espoir de l’Iran mais l’espoir de toux ceux qui pensent -à l’encontre des partisans de la guerre des civilisations- que les valeurs de la déclaration de 1948 des Droits de l’Homme, que l’égalité des hommes et des femmes, que la séparation du politique et du religieux, ne sont pas les produits de l’impérialisme occidental, mais sont les valeurs de l’Humanité toute entière.

Propos recueillis par Marc Knobel

Photo (Michel Taubmann) : D.R.

Note :
1) Pour des raisons de place et de sécurité: Inscription obligatoire à cette adresse email avant le 26 juin: m.taubmann@free.fr

Michel Taubmann est également l’auteur de « La bombe et le Coran, une bibliographie de Mahmoud Ahmadinejad », Ed. du moment, 2008, 19 euros 95.

Elie Korchia, Président du Conseil des Communautés Juives des Hauts de Seine, délégué du CRIF pour le 92 : Tous pour Shalit !

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22 Juin 2009
Question : Il y a trois ans de cela, le jeune franco-israélien était kidnappé dans la bande de Gaza. Depuis, il est depuis sans que l’on sache ce qu’il est devenu. Que vous inspire ce fait tragique ? Et, pourquoi vous mobilisez-vous pour sa libération ?
Réponse : le sort d’un otage ne saurait laisser indifférent. Guilad Shalit est depuis plus de 1000 jours dans des conditions que l’on peut imaginer, particulièrement difficiles. Bien évidemment, la communauté juive dans son ensemble est attentive et inquiète du sort de ce franco-israélien. Il m’apparaît important, alors que nous dépassons la troisième année de sa détention (jeudi 25 juin 2006), que des villes du département des Hauts-de-Seine puissent se mobiliser, dans un même élan solidaire pour la libération de cet otage, et dans le prolongement du discours et des annonces précédemment faites par le Président de la république.

Question : Estimez-vous que votre département saura se mobiliser pour le jeune Guilad ?
Réponse : Je vous rappelle que j’ai sollicité un certain nombre d’élus sur cette question dès après mon élection dans les communautés juives des Hauts-de-Seine (15 mars 2009). J’ai eu le plaisir de recevoir un écho très positif quant à cette démarche et je me suis rendu compte que le département des Hauts-de-Seine pouvait à nouveau jouer un rôle moteur, pour ne pas dire pilote, dans un engagement pour la libération de Guilad Shalit. C’est ainsi qu’à l’occasion de la grande soirée de gala qui a réuni toutes les communautés juives des Hauts-de-Seine -le 17 juin 2009, au Haras de Jardy (Marne la coquette)- que j’ai annoncé que sept villes du département ont accepté d’apposer ce jeudi 25 juin 2009, le portrait de Guilad dans leur mairie. J’en profite aussi pour remercier de son soutien l’association « Soutien Français à Guilad Shalit, qui nous a aidé à délivrer les portraits de Guilad dans les différentes mairies et, plus largement, tous ceux qui dans le milieu associatif, politique ou communautaire sont engagés dans ce combat.

Question : Pourriez-vous nous dire quelles sont les villes du département qui vous suivent à l’heure actuelle dans cette démarche citoyenne ?
Réponse : En quelques jours, dans la préparation de la journée, certaines villes se sont mobilisées rapidement : Boulogne Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Medon, La Garenne Colombes, Puteaux, Neuilly sur Seine, Suresnes.

Question : Pourriez-vous me donner un exemple plus particulier ?
Réponse : Oui, tout à fait. Si l’engagement des différentes villes est d’apposer le portrait de Guilad dans la journée du jeudi 25 juin, je tiens à remarquer que ce même jour, à la mairie d’Issy-les-Moulineaux, André Santini, maire de la ville, organisera une cérémonie conséquente autour de cet événement, et en présence de nombreux élus.

Question : D’autres villes du département se joindront-elles prochainement à cette initiative ?
Réponse : J’espère vivement que ce projet -qui devient réalité- pourra être partagé prochainement dans d’autres villes car le soutien exprimé pour la libération d’un otage dépasse largement tous les clivages politiques ou partisans.

Question : Souhaitez-vous que cette action suscite un engouement dans d’autres départements et que seriez-vous prêts à faire en ce sens ?
Réponse : Je suis à l’entière disposition de tous les responsables communautaires tant en Ile-de-France que dans les régions, pour faire en sorte que cette expérience serve de modèle et puisse être dupliquée ailleurs.

Georges Bensoussan : A quoi sert de plaider pour un enseignement qui fasse sens si on ferme les yeux sur ce qui se passe en France en 2009 ?

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19 Juin 2009
George Bensoussan est historien, responsable éditorial de la revue d’Histoire de la Shoah

André Kaspi, historien, spécialiste des Etats-Unis : Obama : ce qui va changer

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12 Juin 2009
Les faits et gestes du président Barack Obama sont scrutés partout dans le monde et les déplacements à l’étranger du nouveau président américain, suscitent énormément de commentaires et d’intérêts. Comment l’expliquez-vous ?

Trois questions au docteur Joseph Zrihen, vice-président du FSJU

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12 Juin 2009
- Du dimanche 7 juin au mardi 10 juin s’est tenu à l’Espace Rachi un séminaire Européen sur l’Action Sociale. Pouvez-vous nous en parler ?

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