"L’Etoile jaune : il y a 75 ans !", par Thierry Noël-Guitelman

22 Mai 2017 | 489 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Bruno Halioua nous parle avec émotion de Milo Adoner.

Pascal Boniface a été débouté de sa plainte en diffamation contre Frédéric Haziza. Et l’épilogue de cette affaire est doublement essentiel.

 

Dimanche 12 janvier 2020, le Crif a organisé un voyage de mémoire à Auschwitz-Birkenau. À l'issue de cette journée, je me suis exprimé devant les participants. Voici les quelques mots prononcés.

 

 

Dans cette éditorial, je m'exprime sur les nombreux actes de haines survenus en France et dans le monde en 2019. Je formule également mes voeux de sécurité et de paix pour cette nouvelle année.

 

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Actualité

Discours de Marcel Dreyfuss,  Président d’honneur du Consistoire, représentant du Crif ARA - Dimanche 18/7/2021 au CHRD

Discours prononcé à la cérémonie du 18 juillet par M. Albert Massiah, Président du Crif Bordeaux-Aquitaine, lors de la « Journée nationale à la mémoire des crimes racistes et antisémites commis par l’État français de Vichy et en hommage aux Justes de France. »

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Opinion

À l’heure de la réconciliation Jérusalem-Ankara, retour sur l’histoire des Juifs de Turquie.

Patricia Sitruk est membre du Comité directeur du Crif

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Thierry Noël-Guitelman est un journaliste, membre de l'association Hébraïca à Toulouse. Il a engagé, en 2004, des recherches familiales sur l'étoile jaune, sa tante Ida Seurat-Guitelman, ayant obtenu une exemption.

Le 29 mai 1942, il y a exactement 75 ans, la 8e ordonnance allemande imposait le port de l’étoile jaune aux juifs de zone occupée, dès l’âge de six ans.

Cette mesure discriminatoire entrera en vigueur, une semaine plus tard, le dimanche 7 juin 1942.
 
L’étoile jaune allait faciliter arrestations et déportations. Un formidable levier pour exécuter la « Solution finale ».
 
Alors que l’antisémitisme revient en force, cet anniversaire est l’occasion de ne pas oublier le rôle joué par ce marqueur. En réaction, certains n’ont pas porté l’étoile, d’autres ont pu obtenir son exemption. Un privilège très rare, accordé par les seules autorités allemandes. Une poignée de sauvetages sera permise avec son lot de compromissions et de trahisons : des protégées du maréchal Pétain, des responsables économiques, des indicateurs de police, des agents du contre-espionnage, des intermédiaires du pillage des oeuvres d’art.
 
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