A lire, à voir, à écouter

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Publié le 15 Juin 2015

Isabelle Huppert sur la scène de l’Espace Rachi

La pièce reprend le récit du livre de Rémy Huppert sur le destin de deux juifs originaires de Chine.
 

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Publié le 15 Juin 2015

Judith Mergui : « Inch’Alyah » à Nice le 23 juin et à Strasbourg le 24 juin

Le Keren Hayessod Nice Côte d’Azur propose un magnifique one woman show avec Judith Mergui, sur le thème de l’alyah.
 

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Publié le 11 Juin 2015

La dernière page, par Gazmend Kapllani (*)

Voici un roman aussi original que bien mené. 

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Publié le 10 Juin 2015

Hannah Szenes l'étoile foudroyée, par Martine Gozlan (*)

Une  biographie dynamique et bien documentée.

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Publié le 9 Juin 2015

Mieux vaut en rire

Pour leur premier long métrage en duo, « Fin de partie », Sharon Maymon et Tal Granit choisissent l’humour noir pour aborder la fin de vie.

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Publié le 9 Juin 2015

Daesh - « État islamique », cancer d'un monde arabo-musulman en recomposition - un conflit international long et incertain, par Gérard Fellous (*)

Un livre essentiel pour la compréhension du « phénomène » Daesh.
 

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Publié le 9 Juin 2015

Combattants juifs dans les armées de libération

Un nouveau livre de témoignages aux éditions Ouest-France.
 

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Publié le 9 Juin 2015

Jacob Jacob: Valérie Zenatti, prix du livre Inter 2015

Son livre explore la mémoire d’un jeune Juif de Constantine, enrôlé en juin 44 pour libérer la France des nazis.
 

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Publié le 8 Juin 2015

Qui s'en souviendra ? 1915 : le génocide assyro-chaldéo-syriaque, par Joseph Yacoub (*)

Un livre pour sortir de l'oubli le génocide des assyro-chaldéens-syriaques.
 

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Publié le 5 Juin 2015

Le Corbusier - une froide vision du monde, par Marc Perelman (*)

Une lecture édifiante.
 

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Yolanda Gampel* : «Dans la pratique thérapeutique psychanalytique, un des buts à atteindre devrait être la transformation de la survivance en un désir de vivre»

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06 Février 2008
Question : Vous êtes psychanalyste en Israël. Dans votre pratique, vous recevez des enfants, des bébés, des parents en grande difficulté, qu’ils soient palestiniens ou israéliens. Pourriez-vous nous expliquer ce que vous faites ?

Dov Maimon rend hommage à l’Ambassadeur Jacques Huntzinger, défenseur du dialogue entre Chrétiens, Juifs et Musulmans

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06 Février 2008
Question : Vous étiez ces derniers jours à Alexandrie, pour participer aux ateliers interculturels. De quoi s’agit-il ?

Le jour où Théo Klein a invité le Président au dîner du CRIF

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31 Janvier 2008
« Je suis né dans le chaudron, je m’y sens bien ; je n’en suis pas sorti, et je me suis toujours senti juif » a déclaré Théo Klein à la newsletter du CRIF.

Yves Ternon* : «Au cours du génocide rwandais aucune distinction n‘a été faite par les tueurs entre hommes et femmes et adultes ou enfants»

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28 Janvier 2008
Question : Yves Ternon vous êtes historien des génocides et membre de la commission d’enquête sur le rôle de la France au Rwanda. Vous avez notamment publié L’Etat criminel. Les génocides du 20e siècle (Seuil, 1995) et Guerres et Génocides au 20e siècle (Odile Jacob, 2007). Vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler très brièvement ce qu’a été le génocide rwandais ?

Nathalie Zajde* : «La majeure partie des travaux sur les victimes de la Shoah et leurs descendants ne mentionnent pas leur identité. Comme si le fait d’être Juif était un artifice, et n’avait aucune influence…»

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28 Janvier 2008
Question : Nathalie Zajde, vous êtes Maître de conférences de Psychologie Clinique et pathologique à l'Université de Paris 8 et vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé le 31 janvier 2008, à Bordeaux, par le Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF Sud-Ouest Aquitaine) et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». En 1991, vous avez fait dans l'UFR de psychologie de l'Université de Paris 8 Saint-Denis, des groupes de paroles d'enfants de survivants de la Shoah. De quoi s’agissait-il ? Et pourquoi un groupe d'ethnopsychiatrie pour les enfants de survivants de la Shoah?

Tobie Nathan* : «Les enfants soldats, à mes yeux, sont des actions de guerre en eux-mêmes»

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23 Janvier 2008
Question : Vous êtes Conseiller de Coopération et d'Action Culturelle près l'Ambassade de France en Israël depuis le 1er septembre 2004. Vous devriez participer au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Dans de très belle pages de la revue de psychanalyse, Filigrane, à l’automne 2007, (« Une clinique de l’étranger », entretien avec Cécile Marotte), vous racontez des moments de votre enfance. Vous êtes né en Égypte d'une famille juive égyptienne. Je retiens ce fort beau passage : « Et donc lorsque les vieux vieillissent... comment on les enterre, où sont les cimetières, où sont les endroits où l'on pourra retrouver la succession des morts, suivre l’évolution des choses et des gens depuis les temps. En vérité, dans le pays d'exil, tout cela est tellement impossible que cela devient une tragédie silencieuse. Ce que l’on constate, c’est une adaptation de surface durant les premières années. Mais bientôt, ça bascule et la vie devient problématique. Et puis un jour, il est nécessaire de rattraper… C’est un peu comme cela qu’a été mon exil. Je l'ai vécu en France, je l'ai vécu de manière très intense. Au début, entre neuf ans et 18 ans, j'étais un môme parfaitement adapté... J'apprenais très bien à l'école, tout allait très bien d’ailleurs… et c'est à 18 ans quand arrive l’âge où l’on devient soi-même... » Vous expliquez par la suite que vous cherchiez un chemin pour faire quelque chose de votre vie, « mais sans perdre le fond.» En 1969, vous rencontrez le psychanalyste et l’anthropologue franco-américain d'origine juive Georges Devereux Expliquez-nous…

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