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Publié le 25 Novembre 2014

Une histoire « moderne » des Juifs d’Alsace

Publié dans l’Alsace le 25 novembre 2014

Freddy Raphaël, Professeur émérite en sciences sociales à l’Université de Strasbourg, a dirigé une équipe de vingt auteurs dans le but d’étudier « l’entrée des Juifs d’Alsace et de Lorraine dans la modernité ».

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Publié le 24 Novembre 2014

Découvrez et soutenez la future étoile montante du Jazz israélien

Publié sur Cool Israël, le 7 Novembre 2014

Remarqué au sein du groupe de son ami le contrebassiste Omer Avital, le pianiste Yonathan Avishai possède un style original qui réactive les éléments principaux du jazz — le swing, le blues, l’improvisation — de manière très personnelle. Marqué par l’influence de musiciens tels que John Lewis, Duke Ellington ou Ahmad Jamal, pianistes de la note juste au jeu économe, il revient aux fondements et à l’essence du trio, en cheville avec le contrebassiste franco-israélien Yoni Zelnik et le batteur Donald Kontomanou.

 

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Publié le 21 Novembre 2014

Jean Levy fait vivre «Ce qu'il reste de l'oubli»

Publié dans la Dépêche du Midi le 17 novembre 2014

Fondateur de l'ETPA, l'école de photographie de Toulouse qu'il a dirigée de 1974 à 2007, Jean Levy publie aujourd'hui «Ce qu'il reste de l'oubli», une saga familiale qui, d'Argentine en Afrique en passant par la France, bien sûr, raconte la traversée du XXe siècle par une famille juive, sa famille. «Tout est vrai dans ce que j’écris», souligne-t-il.

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Publié le 21 Novembre 2014

Dreyfus, toute une affaire?

Par Grégoire Kauffmann, publié dans l’Express le 170 novembre 2014

Bertrand Joly est le grand historien trop méconnu du nationalisme français. Depuis les années 1980, cet ancien élève de l'École des Chartes arpente les milliers de fonds d'archives qui ressuscitent le premier "âge des foules", cette fièvre populiste née dans le sillage du général Boulanger à la fin du XIXe siècle. 

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Publié le 21 Novembre 2014

Le califat du sang, par Alexandre Adler (*)

Une recension de Jean-Pierre Allali

Dans ce petit livre, l'auteur tente de débroussailler pour nous l'écheveau, qui semble au demeurant inextricable, de la planète islamiste. L'entreprise n'est pas évidente et l'on se perd parfois à comprendre les motivations de ces « jihadistes qui veulent tuer, mutiler, violer, piller et qui le font », des « êtres aussi résolus à mourir qu'à tuer ».

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Publié le 20 Novembre 2014

Filmer la guerre : les Soviétiques face à la Shoah (1941-1946)

Exposition du 9 janvier au 27 septembre 2015

Mémorial de la Shoah, Paris

À l'occasion du 70e anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale et de l'ouverture des camps par les Alliés, le Mémorial de la Shoah propose une exposition exceptionnelle consacrée à l'étude des images de la Shoah filmées par les opérateurs Soviétiques. 

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Publié le 20 Novembre 2014

Jazz & Klezmer fête sa «Bal-mitzva»

Par François-Xavier Gomez, publié dans Libération le 19 novembre 2014

Le festival parisien rassemble la diversité des musiques juives et fait la part belle à la création.

Le terme Klezmer, qui désigne à l’origine les musiciens Juifs itinérants d’Europe centrale, est redevenu à la mode à la fin du XXe siècle, grâce aux revivals new-yorkais (The Klezmatics, David Krakauer) et européens (les Polonais de Kroke). Paris hébergeait de son côté une scène Klezmer discrète, mais vivace, avec Talila, Denis Cuniot ou Ben Zimet.

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Publié le 20 Novembre 2014

Voici revenu le temps des imposteurs, par Guy Millière (*)

Une recension de Jean-Pierre Allali

Conférencier réputé, Guy Millière est un polémiste vigoureux qui n'a pas sa langue dans sa poche. Dans le court pamphlet qu'il nous propose, il tire sur tout ce qui bouge, car, selon lui, la France court à la catastrophe. C'est le temps de l'anomie, phénomène décrit à la fin du 19ème siècle par le sociologue français Émile Durkheim : « État vers lequel se dirige une société lorsque tout ce qui lui permet de fonctionner encore en tant que société, règles, normes, références, valeurs, se disloque, se désagrège et s’anéantit ». 

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Publié le 19 Novembre 2014

INRI - le procès de Jésus, par Raphaël Draï (*)

Une recension de Jean-Pierre Allali

Une fois n'est pas coutume. Raphaël Draï, qui, tout au long des années, nous a offert aussi bien des ouvrages de pensée juive d'excellente qualité que des écrits politiques remarquablement construits, se lance dans le théâtre avec un thème pour le moins délicat, celui du procès de Jésus, Yéchou pour les Hébreux. Et pour un coup d'essai, c'est un coup de maître. Cette pièce, indubitablement, mérite d'être représentée dans les théâtres les plus réputés.

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Publié le 17 Novembre 2014

« Mado », princesse de l’Exodus

Par François Zimmer, publié dans l’Est Républicain le 16 novembre 2014

Après une enfance belfortaine et une vie de clandestinité sous l’Occupation, Madeleine Langenauer a vécu l’épopée de l’Exodus en 1947. Rencontre à Tel-Aviv avec une pionnière de l’État d’Israël.

Cette incroyable petite dame de 90 ans et trois mois, bouillonnante de vitalité, est une page d’Histoire et une leçon de vie.

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Cinq regards croisés au CRIF sur le massacre de Tian’anmen

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03 Juin 2009
Il y a vingt ans, à la stupeur des manifestants qui réclamaient « simplement plus de dialogue » avec le régime communiste chinois et l’ouverture de la démocratie, les blindés faisaient mouvement place Tian ‘anmen. Le soulèvement populaire était maté par les armes, faisant des centaines, voire des milliers de morts, selon les sources. Quel regard portez-vous sur ces événements ?

Albert Roche, Président du CRIF de Bordeaux – Aquitaine : «Les Bordelais sont très fiers de nos champions de football !»

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02 Juin 2009
Question : Bordeaux a reconquis le titre de champion de France 2009 de football, au nez et à la barbe de l’OM et, à Bordeaux, près de 25.000 supporteurs se sont rassemblés place des Quinconces pour assister à la remise de la coupe. Vous êtes content?

Hommage a la famille Metzler

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28 Mai 2009
Il y a quelques années, le docteur Bruno Halioua, historien et secrétaire général de l’AMIF, association membre du CRIF, a attiré l’attention des autorités de la région Poitou-Charente sur la tragédie terrible de la famille Metzler.

Raphaël Haddad, président de l’UEJF: les organisations non-gouvernementales ont bien fait d’aller à Genève

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25 Mai 2009
A la suite de l’émission de France 2 à laquelle vous avez pris part, 19 avocats de la défense du « gang des barbares » ont dénoncé des « atteintes graves à la présomption d’innocence et à l’indépendance de la justice ». Qu’en pensez-vous ?

Ces accusations me semblent bien lourdes au regard d’une émission qui a fait le choix d’un vrai débat de fond sur le procès des ravisseurs d’Ilan Halimi ! Je crois qu’il ne faut pas se laisser impressionner par les cris d’orfraies. Tout ce qui permettra à ce procès d’être l’occasion d’un débat public sur ce que cette tragédie révèle comme malaise dans notre société doit être encouragé.

Un procès doit-il avoir un rôle pédagogique ?

La loi, comme la sanction ont parfois une fonction pédagogique. Elles viennent rappeler les limites fixées par l’ensemble des citoyens pour continuer à vivre-ensemble. Cette dimension est essentielle pour le procès d’un acte antisémite aussi grave, qui s’inscrit dans les milliers d’autres commis sur notre territoire depuis le début des années 2000.

Vous avez fait le clown à Genève pour dénoncer « le cirque » du Durban 2. En fin de compte, quel est le bilan de cette réunion ? Que répondez-vous à ceux qui disent qu’il ne fallait pas aller à Genève ?

Le bilan de ce sommet pose une question lourde à tous les militants des droits de l’homme. Un chef d’état raciste et ne cachant pas ses volontés d’extermination a ouvert les débats d’une conférence mondiale contre le racisme, tandis qu’une organisation antiraciste reconnue en a été expulsée. Par ces faits, je crains que le conseil des droits de l’homme de l’ONU ait signé l’inversion des valeurs humanistes qu’il est censé défendre, et le succès des pays les plus méprisants des droits de l’homme. Pour cette raison, une réforme de la gouvernance de cet organe m’apparait indispensable et urgente. Je regrette que la France ait participée à cette conférence, parce qu’elle y a ainsi conféré une part de légitimité. Mais à ceux qui prétendent qu’il ne fallait pas que les ONG se rendent à Genève, je réponds que le meilleur endroit au monde pour dénoncer la mascarade de Durban 2 était sans aucun doute à quelques mètres du Président iranien.

Vous avez été invité à la réunion annuelle de l’American Jewish Committee. Quelle est la perception qu’ont les Juifs américains de la situation des Juifs en France ?

J’ai été très marqué par cette rencontre annuelle, qui a réuni 700 personnes pendant trois jours autour d’ateliers thématiques, de grandes conférences. Les juifs américains sont très soucieux de la situation des Juifs de France, et relativement inquiets devant les 350 actes antisémites qui ont été commis sur notre territoire pendant qu’Israël faisait la guerre au Hamas. Pour ma part, je reviens de cette réunion confortée dans l’idée qu’à l’image de ce que nous faisons dans les collèges avec le programme Coexist (www.coexist.fr) ou de notre engagement aux côtés d’associations de quartiers, c’est en construisant des ponts avec d’autres populations que nous pourrons garantir l’avenir des Juifs de France.

Pensez-vous qu’une organisation comme l’UEJF peut critiquer le gouvernement israélien ou doit être inconditionnellement alignée sur les positions des dirigeants israéliens, quels qu’ils soient ?

Il faut soutenir inconditionnellement le droit à l’existence de l’état d’Israël et ne jamais manquer une occasion de promouvoir la paix.

Alec Borenstein : les couleurs de Tel-Aviv

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20 Mai 2009
A l’occasion du centenaire de Tel-Aviv, Hagalleria (45 rue Crozatier 75012 Paris) expose jusqu’au 6 juin des peintures d’Alec Borenstein sur le thème : « Alec : Tel-Aviv à vif ».

Pourquoi avoir choisi Tel-Aviv comme lieu privilégié de votre peinture ?

Tel Aviv est un des thèmes privilégiés dans ma peinture (il y en a d'autres comme :Freud, les citrons, les nappes à carreaux ..), mais Tel Aviv n'est pas le lieu de ma peinture! C'est là peut-être l'originalité d'une œuvre qui oscille entre un réalisme très sévère et un certain onirisme.
Car c'est dans mon atelier parisien dans sa lumière grise que je peins Tel Aviv, inondée d'une lumière jaune et de couleurs vibrantes. Comme l'a écrit le poète Yéhuda Halévi : "Mon cœur est en Orient, mais je suis aux confins de l'Occident".

Vous avez une nostalgie particulière pour la rue de votre enfance, la rue Mapu. Pourquoi ?

C'est la rue où j'ai grandi. Elle conserve des souvenirs d'une enfance idéalisée par le temps qui passe ...Dans une de mes toiles, je me revoie enfant dessinant la rue Mapu, dans une autre, "Le cheval rouge», la maison violette -l'ancien hôtel Bristol-est reconstituée d'après un de mes dessins d'enfance.
La rue Mapu porte en elle la quintessence de ce qu'est Tel Aviv pour moi : ses maisons de style Bauhaus, ses petites cours, le soleil ardent et la mer à quelques pas.

Tel-Aviv a 100 ans. Quel est votre regard de citoyen et de peintre sur cette ville ?

Je dirai que je suis heureux de constater les efforts faits pour préserver, au moins au cœur de la ville, le caractère particulier de Tel Aviv : les proportions humaines de ses maisons à trois ou quatre étages entre lesquelles poussent des ficus, des arbustes et des palmiers.
En 100 ans, la petite bourgade est devenue une véritable métropole, avec une activité économique et culturelle d'une grande capitale en miniature... Mais ma peinture s'attache surtout à son charme le plus authentique.

Jacques Jacubert, président du B’nai Brith France: mon bilan

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20 Mai 2009
Jacques Jacubert, vous aviez été élu président du Bnai Brith France en 2007.
Votre successeur - Ils sont deux à briguer votre place - sera élu le 14 juin prochain.
Vous avez donc décidé de ne pas vous représenter. Deux ans, n’est-ce pas trop court pour obtenir des résultats tangibles ?

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