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Publié le 7 Février 2024

Cérémonie d'hommage aux victimes françaises des attaques terroristes du 7 octobre en Israël

Mercredi 7 février 2024, le Président Emmanuel Macron a présidé, dans la cour d’honneur de l’Hôtel national des Invalides, la cérémonie d’hommage aux victimes françaises des attaques terroristes du 7 octobre en Israël. Le Crif était présent pour rendre hommage aux 42 victimes françaises des massacres perpétrés par le Hamas en Israël.
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Publié le 6 Février 2024

Le brief du Crif – Sondage : « Perception de l’hommage aux victimes françaises de l’attentat du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 »

7 février 2024. Quatre mois après, un hommage national a été rendu par le Président de la République, Emmanuel Macron, aux 42 victimes françaises des massacres perpétrés par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël. Le Crif présente à cette occasion les résultats d'une enquête réalisée par Harris Interactive sur la « Perception de l’hommage aux victimes françaises de l’attentat du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 ».
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Publié le 5 Février 2024

Le Crif en action - Aurore Bergé témoigne son soutien à la communauté juive strasbourgeoise

Après l’agression antisémite de trois étudiants juifs à l’Université de Strasbourg, la Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations, Aurore Bergé, de passage à Strasbourg souhaitait saluer la communauté juive et lui montrer son soutien.
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Publié le 5 Février 2024

Crif - Retransmission sur l'Esplanade des Invalides de l'hommage national rendu aux 42 victimes françaises des massacres du 7 octobre

Le 7 février 2024, un hommage national sera rendu par le Président de la République, Emmanuel Macron, aux 42 victimes françaises des massacres perpétrés par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël. Cet hommage sera retransmis sur écran géant sur l'esplanade des Invalides à Paris à partir de 11h15.
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Publié le 5 Février 2024

Communiqué du Crif Alsace - Le Crif Alsace publie un communiqué suite à l'agression de trois jeunes sur le campus de l'université de Strasbourg

« Des jeunes filles et un garçon ont été agressés et violentés sur le campus de Strasbourg dimanche soir, pour la seule raison qu’ils affichaient la photo des otages du Hamas dans l’espoir de voir leur libération ainsi que leur refus de l'antisémitisme. »
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Publié le 5 Février 2024

Les Amis du Crif ont reçu Sophia Aram

Mercredi 31 janvier 2024, Sophia Aram était l’invitée des Amis du Crif pour une conférence animée par Guillaume Erner, journaliste à France Culture.
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Publié le 2 Février 2024

Hommage - Disparition de Lucie Cohen, survivante d'Auschwitz-Birkenau

C'est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Lucie Cohen, âgée de 100 ans, à Marseille, le 28 janvier 2024. Lucie est déportée le 20 mai 1944, avec trois de ses sœurs, Juliette, Alice, Yvette, et leur père, à Auschwitz-Birkenau. Elle a 20 ans. Lucie nous a fait l'honneur de participer à l'exposition réalisée par le Crif « Lest We Forget - N'oublions pas 2022 », à l'occasion des 80 ans de la Rafle du Vél d'hiv. Le Crif adresse ses plus sincères condoléances à toute sa famille. Nos pensées émues les accompagnent.
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Publié le 30 Janvier 2024

Commission du Crif - La Commission du souvenir a reçu Henri Hajdenberg, Président d’honneur du Crif

Henri Hajdenberg, Président d’honneur du Crif, était l’invité de la Commission du Souvenir le 9 janvier 2024. Il a publié en septembre dernier « Une voix politique juive française » un ouvrage qu’il appelle « ses mémoires », destiné avant tout à ses enfants et petits-enfants.
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Publié le 30 Janvier 2024

Le brief du Crif - Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de la Shoah : Cérémonie officielle régionale au Site-mémorial du Camp des Milles

Face au Wagon du Souvenir des Milles, l’assistance était particulièrement nombreuse à l’invitation de Monsieur le Préfet de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Christophe Mirmand, et de Madame le Maire d’Aix-en-Provence, Sophie Joissains. Une cérémonie y était organisée à l’occasion de la Journée Internationale de commémoration en mémoire des victimes de la Shoah. Pour tous les participants, cette commémoration avait un caractère particulier dans un contexte de multiplication des actes antisémites et de montée des extrémismes et des terrorismes menaçant la démocratie en France, en Europe et dans le monde.
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Publié le 29 Janvier 2024

Crif - « Comment répondre à… » : la Commission Éducation du Crif lance des fiches pédagogiques à l’attention de la jeunesse

Alors que le récent rapport sur l'antisémitisme publié par le SPCJ et le ministère de l'Intérieur révèle une très forte hausse des actes antisémites dans le milieu scolaire, la Commission Éducation du Crif propose des fiches pédagogiques afin d’aider les jeunes à répondre et argumenter au sujet du conflit israélo-palestinien.
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Michel Taubmann, journaliste, rédacteur en chef du Meilleur du Monde : «Nous sommes tous des démocrates iraniens !»

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26 Juin 2009
La revue Le Meilleur des mondes et la Confédération étudiante organisent le lundi 29 juin à 18 heures (mairie du 13ème arrondissement de Paris - 1, place d'Italie) un grand colloque : « Iran, le choix démocratique », avec le soutien du CRIF, parmi de nombreuses autres organisations et personnalités, et avec la présence d’Akbar Atri, leader du mouvement étudiant en 1999 et 2003, fondateur de l’organisation étudiante pour la démocratie et les droits de l’homme ; Ladan Boroumand, directrice de la Fondation pour la promotion des droits de l’homme et de la démocratie en Iran ; Chahla Chafiq, sociologue et féministe ; Chahdortt Djavan, écrivain et féministe ; Setâre Enayatzadeh, universitaire ; Prince Reza Pahlavi ; Mohsen Sazegara, fondateur des Gardiens de la Révolution, puis animateur du mouvement réformateur jusqu’en 2003 (1). Qu’attendez-vous de ce colloque ?
Réponse : Je crois qu’il est très important que pour la première fois depuis la révolution islamique, les anciens adversaires ou leurs enfants, je pense notamment à Mohsen Sazegara qui, en 1979, jeune étudiant révolutionnaire, était au côté de Khomeiny, à Neauphle-le-Château et à Reza Pahlavi, fils du Shah d’Iran, chassé du pouvoir par la Révolution islamique. Mohsen Sazegara a été l’un des fondateurs des Gardiens de la Révolution, terrible organisation politico-militaire, qui est encore aujourd’hui, l’un des derniers soutiens du régime.
Reza Pahlavi, lui, se consacre depuis trente ans, seul et sans moyen, car il est abandonné de tous, à instaurer la démocratie dans son pays. Chacun de son côté, Mohsen Sazegara et Reza Pahlavi, ont fait un bout du chemin, ont connu des remises en question et des souffrances. Mohsen Sazegara après avoir occupé de hautes fonctions dans la République Islamique est devenu un leader du mouvement réformateur. Il l’a payé de plusieurs mois de prison, et de tortures physiques et morales. Ces deux hommes se retrouvent aujourd’hui pour soutenir la révolte du peuple iranien et ils sont tous les deux à la fois pour la démocratie et la laïcité. On peut en dire autant de tous les Iraniens qui seront à la tribune. Je pense notamment aux femmes comme Chahdortt Djavan, Chahla Chafiq et Ladan Boroumand, qui, en tant que femmes, furent les premières victimes de l’obscurantisme religieux.

La situation en Iran est grave. Que traduit la crise actuelle ? Peut-on parler de situation prérévolutionnaire ?
Réponse : Cette situation n’est absolument pas surprenante pour ceux qui, comme moi, suivent les événements en Iran, depuis plusieurs années. Nous avons tous relevé un décalage croissant entre une société civile aspirant à la démocratie et l’assouplissement à la disparition des contraintes religieuses imposées par le système.
Je vous rappelle que le livre d’entretiens que j’ai publié avec Reza Pahlavi s’appelle « L’heure du choix », (Ed. Denoël, février 2009, 17 euros), ce qui signifiait clairement que pour lui, la question de la démocratie se posait à court terme pour l’Iran. Ce titre a suscité beaucoup de sarcasmes à l’époque. Il y a encore quelques semaines, des observateurs vantaient la solidité du régime iranien et louaient ses capacités à organiser des élections démocratiques. Ce qui est clair, c’est que nous sommes confrontés à deux crises. La première oppose une grande partie de la société iranienne au pouvoir en place et la deuxième est interne au pouvoir. La jonction entre une partie de l’appareil religieux, politique et militaire et les protestataires entrainera à terme une crise qui débouchera non pas sur une réforme mais sur un dépassement de la République islamique. Il est très significatif d’ailleurs de constater qu’un homme comme Moussavi, ancien Premier ministre de Khamenei et de Khomeiny (entre 1981 et 89) dans la période la plus répressive du régime se trouve aujourd’hui emporté bien loin de ses intentions initiales dans un affrontement avec le régime dont il est issu.

La jeune Neda, qui a été tuée d’une balle en pleine poitrine et dont le film de sa mort fait le tour du monde sur le web, est-elle devenue le symbole même de la résistance en Iran ?
Réponse : Les images terribles de ce carnage, de cet acharnement brutal et inhumain sur cette jeune fille symbolise la réalité de la République islamique. Dans le livre que je publie très bientôt chez Denoël (« Histoire secrète de la révolution iranienne »), avec mon ami l’intellectuel iranien Ramin Parhan, nous montrons avec des documents inédits que dès le premier jour, la révolution islamique s’est distinguée par sa brutalité, sa cruauté, et la haine de tous ceux qui était différent et notamment les femmes. Ce fut une révolution contre les femmes et il est assez malheureusement logique que cette révolution qui a commencé contre les femmes se termine par le massacre d’une jeune femme sans défense. Toutefois, le symbole de la nouvelle révolution démocratique dont nous voyons les prémices actuellement, ce sont ces beaux visages de femmes iraniennes, qui enlèvent leur voile et droit dans les yeux défient les Ayatollahs obscurantistes et leurs miliciens barbares. Ce sont ces visages de femmes dévoilées iraniennes qui sont aujourd’hui non seulement l’espoir de l’Iran mais l’espoir de toux ceux qui pensent -à l’encontre des partisans de la guerre des civilisations- que les valeurs de la déclaration de 1948 des Droits de l’Homme, que l’égalité des hommes et des femmes, que la séparation du politique et du religieux, ne sont pas les produits de l’impérialisme occidental, mais sont les valeurs de l’Humanité toute entière.

Propos recueillis par Marc Knobel

Photo (Michel Taubmann) : D.R.

Note :
1) Pour des raisons de place et de sécurité: Inscription obligatoire à cette adresse email avant le 26 juin: m.taubmann@free.fr

Michel Taubmann est également l’auteur de « La bombe et le Coran, une bibliographie de Mahmoud Ahmadinejad », Ed. du moment, 2008, 19 euros 95.

Elie Korchia, Président du Conseil des Communautés Juives des Hauts de Seine, délégué du CRIF pour le 92 : Tous pour Shalit !

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22 Juin 2009
Question : Il y a trois ans de cela, le jeune franco-israélien était kidnappé dans la bande de Gaza. Depuis, il est depuis sans que l’on sache ce qu’il est devenu. Que vous inspire ce fait tragique ? Et, pourquoi vous mobilisez-vous pour sa libération ?
Réponse : le sort d’un otage ne saurait laisser indifférent. Guilad Shalit est depuis plus de 1000 jours dans des conditions que l’on peut imaginer, particulièrement difficiles. Bien évidemment, la communauté juive dans son ensemble est attentive et inquiète du sort de ce franco-israélien. Il m’apparaît important, alors que nous dépassons la troisième année de sa détention (jeudi 25 juin 2006), que des villes du département des Hauts-de-Seine puissent se mobiliser, dans un même élan solidaire pour la libération de cet otage, et dans le prolongement du discours et des annonces précédemment faites par le Président de la république.

Question : Estimez-vous que votre département saura se mobiliser pour le jeune Guilad ?
Réponse : Je vous rappelle que j’ai sollicité un certain nombre d’élus sur cette question dès après mon élection dans les communautés juives des Hauts-de-Seine (15 mars 2009). J’ai eu le plaisir de recevoir un écho très positif quant à cette démarche et je me suis rendu compte que le département des Hauts-de-Seine pouvait à nouveau jouer un rôle moteur, pour ne pas dire pilote, dans un engagement pour la libération de Guilad Shalit. C’est ainsi qu’à l’occasion de la grande soirée de gala qui a réuni toutes les communautés juives des Hauts-de-Seine -le 17 juin 2009, au Haras de Jardy (Marne la coquette)- que j’ai annoncé que sept villes du département ont accepté d’apposer ce jeudi 25 juin 2009, le portrait de Guilad dans leur mairie. J’en profite aussi pour remercier de son soutien l’association « Soutien Français à Guilad Shalit, qui nous a aidé à délivrer les portraits de Guilad dans les différentes mairies et, plus largement, tous ceux qui dans le milieu associatif, politique ou communautaire sont engagés dans ce combat.

Question : Pourriez-vous nous dire quelles sont les villes du département qui vous suivent à l’heure actuelle dans cette démarche citoyenne ?
Réponse : En quelques jours, dans la préparation de la journée, certaines villes se sont mobilisées rapidement : Boulogne Billancourt, Issy-les-Moulineaux, Medon, La Garenne Colombes, Puteaux, Neuilly sur Seine, Suresnes.

Question : Pourriez-vous me donner un exemple plus particulier ?
Réponse : Oui, tout à fait. Si l’engagement des différentes villes est d’apposer le portrait de Guilad dans la journée du jeudi 25 juin, je tiens à remarquer que ce même jour, à la mairie d’Issy-les-Moulineaux, André Santini, maire de la ville, organisera une cérémonie conséquente autour de cet événement, et en présence de nombreux élus.

Question : D’autres villes du département se joindront-elles prochainement à cette initiative ?
Réponse : J’espère vivement que ce projet -qui devient réalité- pourra être partagé prochainement dans d’autres villes car le soutien exprimé pour la libération d’un otage dépasse largement tous les clivages politiques ou partisans.

Question : Souhaitez-vous que cette action suscite un engouement dans d’autres départements et que seriez-vous prêts à faire en ce sens ?
Réponse : Je suis à l’entière disposition de tous les responsables communautaires tant en Ile-de-France que dans les régions, pour faire en sorte que cette expérience serve de modèle et puisse être dupliquée ailleurs.

Georges Bensoussan : A quoi sert de plaider pour un enseignement qui fasse sens si on ferme les yeux sur ce qui se passe en France en 2009 ?

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19 Juin 2009
George Bensoussan est historien, responsable éditorial de la revue d’Histoire de la Shoah

André Kaspi, historien, spécialiste des Etats-Unis : Obama : ce qui va changer

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12 Juin 2009
Les faits et gestes du président Barack Obama sont scrutés partout dans le monde et les déplacements à l’étranger du nouveau président américain, suscitent énormément de commentaires et d’intérêts. Comment l’expliquez-vous ?

Trois questions au docteur Joseph Zrihen, vice-président du FSJU

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12 Juin 2009
- Du dimanche 7 juin au mardi 10 juin s’est tenu à l’Espace Rachi un séminaire Européen sur l’Action Sociale. Pouvez-vous nous en parler ?

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