Jean Pierre Allali

Jean-Pierre Allali

"Dilections polétiques" Essai politico-poétique Par Yaïr Biran

19 January 2017 | 49 vue(s)
Catégorie(s) :
Actualité

Prix Nobel de littérature en 2002, l'écrivain hongrois Imre Kertèsz est mort à Budapest le 31 mars 2016. Son dernier livre, "L'ultime auberge" a reçu, le 22 mai 2016, le Prix Spécial du Jury 2016 du Salon du Livre de la Licra-Paris

Voici le discours que j'ai prononcé après le vote de l'assemblée générale du Crif.

A l'occasion de l'assemblée générale du Crif réunie le 29 mai 2016, j'ai prononcé mon discours de candidature.

Lors du 9ème Salon du Livre de la Licra, deux écrivains ont reçu un prix

Là-bas, la crainte d'une menace russe est la principale raison qui exacerbe les passions identitaires.

 
Lors d’une allocution devant le Conseil de sécurité, Rafael Ramirez, représentant du Venezuela auprès des Nations-Unies, a lancé… « Qu’est-ce qu’Israël a l’intention de faire avec les Palestiniens ? Vont-ils disparaître ? Est-ce qu’Israël cherche à imposer une Solution finale sur les Palestiniens ? » 
 

Décryptage.

 

Des 27 avril au 10 juin 2016, se tiendront les journées nationales des Mémoires de la traite de l’esclavage et de l’abolition.  Souvenons-nous.

Nouvelle erreur de casting - Au lendemain de l'émission Dialogues Citoyens, retour sur Marwen Belkaid, un invité pas comme les autres.

Seuls, nous ne pouvons rien. Tous unis nous pouvons tout.

Seuls, nous ne pouvons rien. Tous unis nous pouvons tout.

Réaction à la célébration du 20ème anniversaire de la mort de François Mitterand

Réaction à la célébration du 20ème anniversaire de la mort de François Mitterand

A quelques jour de notre Convention Nationale j'ai répondu aux questions de Sara Mesnel pour L'Arche 

A quelques jour de notre Convention Nationale j'ai répondu aux questions de Sara Mesnel pour L'Arche 

Comment les réseaux sociaux sont passés de l'effroi à la solidarité sans précédent avec les telavivim

Pages

Recension de lecture 

Le livre que nous propose Yaï Biran appartient indubitablement à la catégorie des « mélanges ». Avec habileté, l’auteur passe d’un sujet à un autre, changeant brusquement, quand il le juge utile, de thème comme de style. Après une petite pique sur la poésie qu’il déclare ne pas connaître et qui, sans revenir, « se retire comme la mer se retire », et une évocation du soleil, « tout ce qu’il y a de majestueux en notre Monde », il se lance dans étude très fouillée et très intéressante sur le kibboutz, « qui a tellement étonné le monde, a suscité l’admiration et aussi provoqué des critiques et des attaques virulentes . »

Après des réflexions sur la vie d’artiste, place à la philosophie avec « Être juif aujourd’hui », « Être juif et moche », « Écrire en langue française et vivre en Israël » puis à la poésie avec une série de textes.

Un très intéressant développement est consacré aux langues juives, un autre au désert. Et, au moment où on l’attend le moins, une pièce de théâtre, drame en un acte avec mime intitulé « Mahomet ». Un nouvel ensemble de poésies clôt cet ensemble original parfois déconcertant. Á découvrir !

 

Jean-Pierre Allali

 

(*) Éditions  Joseph Ouaknine. 2016. 144 pages. 17 €