Aux policiers, gendarmes, pompiers et militaires, la France reconnaissante

17 November 2015 | 1675 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Cette période de fêtes juives en France, rime aujourd'hui avec contrôles de sécurtié et détecteurs de métaux

Une stèle en mémoire des victimes de la Shoah qui n’ont pas de sépulture, "ni ici, ni ailleurs", a été inaugurée dans le cimetière parisien de Bagneux.
Une cérémonie solennelle - et sous haute sécurité - qui, à Bagneux, dix ans après la mort d’Ilan Halimi, séquestré et torturé dans la cité de la Pierre-Plate parce qu’il était juif, était d’autant plus symbolique.

Dimanche 11 septembre 2016, j'étais l'invité de l'émission "30 minutes pour convaincre".

Le racisme qui frappe la communauté asiatique est insupportable.
 

Vouloir profiter de l'actuelle polémique pour assimiler les arrêtés anti-burkini à la Saint-Barthélemy et à la Shoah, c'est tomber dans l'indigne et le nauséabond 

Le Times of Israel a repris ma critique de la comparaison musulmans de France - juifs pendant la Shoah.

Je fais suite aux propos de Jean Luc Melenchon travestissant l'Histoire de France.

Aux côtés de Bruno Valentin, prêtre du diocèse de Versailles et Ahmet Ogras, vice-président du CFCM sur le plateau de BFM TV, j'ai réaffirmé mon sentiment d'horreur face à cet acte barbare qui s'est passé ce matin.

 

Dans quel monde vivons-nous et de quelle inhumanité est faite le monde ?

Retour sur le déchaînement de haines antisémites qui s’est produit l’été 2014, en France.

Ce sont toutes les plumes que l'on veut briser...

Une compilation exhaustive, à ce jour, des articles et des interviews que j'ai données à la presse française et internationale.

I was interviewed in English and French, on EJP , Tuesday, May 31, 2016.

J'ai été interviewé, en anglais et en français, sur EJP, mardi 31 mai 2016.

Suite à mon élection à la Présidence du Crif, j'ai répondu aux questions de Paul Amar, sur tous les sujets de préoccupations des Juifs de France.

Pages

Souvent l’on oublie de parler d’eux

 
L’on pense qu’il fait partie de leur mission de traquer les méchants et les criminels, sans sourciller. Parce que, justement, cela fait partie de leur mission.  Oubliant par là-même que ce sont aussi des hommes. Et que ces hommes risquent à tout moment leur vie, pour traquer ceux qui nous veulent du mal.
 
Plusieurs articles ont été publiés pour expliquer comment les hommes de la Brigade de Recherche et d’Intervention ont mené l’assaut au Bataclan. France TVinfo raconte : 
« les policiers ouvrent cette dernière porte donnant sur un étroit couloir d'une dizaine de mètres. Immédiatement, les terroristes ouvrent le feu, repliés derrière les otages. 
 
Les hommes de la BRI répliquent. Preuve de la violence des échanges, le bouclier des policiers, dont 20 minutes, publie la photo, est criblé d'une trentaine d'impacts. Une demi-douzaine de grenades explosent. Des détonantes pour aveugler les terroristes, et des défensives pour progresser. 
 
Le Raid arrive alors en soutien, permettant aux hommes de la BRI de se lancer vers 23 heures dans l'exploration des étages. Deux colonnes progressent, chacune par un escalier et derrière un lourd bouclier de protection. Les policiers ouvrent des portes, permettant à des spectateurs de s'échapper. 
 
Terrorisés, ces derniers sortent des placards ou des faux plafonds. A ce moment-là, toujours aucun coup de feu n'a été échangé entre les forces de l'ordre et les kamikazes. A 23h15, les hommes de la BRI se retrouvent devant une nouvelle porte, derrière laquelle les deux tireurs retiennent en otage une vingtaine de spectateurs. Selon20 minutes, ils se servent de l'un d'eux pour crier aux policiers qu'"ils sont une vingtaine. »
Nous devrions rendre hommage à la BRI et au Raid, pas seulement le ministre de l’Intérieur. Mais, la Nation toute entière. 
 
Parce que ces hommes sont les chevaliers des temps modernes. Parce qu’ils ont du courage, un infini courage, parce qu’ils nous protègent, les citoyens que nous sommes, parce que ce sont des héros, parce qu’ils tombent sous le feu, parce que certains sont morts pour la France.
Il fut un temps où l’on conspuait les policiers, il fut un temps où on les qualifiait stupidement de SS. Il fut un temps où porter l’uniforme valait moqueries et railleries.
Ce temps est révolu. 
 
Aux policiers et aux militaires qui veillent dans nos gares, dans le métro, qui protègent les écoles, les synagogues, qui arpentent les rues, qui traquent les terroristes, il faut dire merci et ajouter : la France reconnaissante.
Nous diffusons des cookies afin d'analyser le trafic sur ce site. Les informations concernant l'utilisation que vous faites de notre site nous sont transmises dans cette optique.En savoir plusOK